les superbes vacances
Page 1 sur 1
les superbes vacances
-Oh mince alors ! Criait Alfred, il avait tout oublié ! en fait, avec ses parents il avait prévu de partir au bord de la mer pour les vacances, sauf qu’il avait oublié toutes ses affaires : son masque de plongée, son tuba etc.…
-C’est pas très grave se disait-il, je ne me baignerai pas, mais j’irai faire un tour au parc d’attraction ! Mais ce n’était pas de l’avis de ses parents.
-Quoi ! tu as oublié tes affaires, mais on ne peut vraiment pas compter sur toi… Pour Alfred de superbes vacances s’annonçaient.
-Elles commencent bien ces vacances ! se disait Alfred. Il resta tout le temps au bord de l’eau sur la plage, à compter les coquillages, à faire des châteaux de sables, des trucs passionnants ! Pour les bébés. C’est alors que son père cria :
-OH mon dieu ! Mon pied ! Un crabe m'a mordu ! Il faut m’emmener à l’hôpital !
-mon petit chéri, j’emmène papa à l’hôpital, reste ici d’accord ? et la maman d’Alfred partit emmener le père à l’hôpital.
-Oh encore un superbe moment qui s’annonce, qu’est ce que je peux bien pouvoir faire ? Il décida d’aller se baigner quand le téléphone sonna, Alfred alla décrocher.
-C’est qui ? Demanda-t-il
-C’est maman mon chéri, peux-tu nous amener les clefs de la voiture ?
-D’accord, vous-êtes où ?
-Sur un parking avec une poubelle, et elle raccrocha.
-Super, je suis bien avancé, je vais aller demander à des gens où se trouve le parking, et il trouva quelqu’un.
-Pardon monsieur, connaissez-vous un parking avec une poubelle ?
-Oui, bien sur, il y en a un là, un autre là, et encore un autre là bas, et peut-être un autre là… et il s’arrêta quand il se rendit compte qu’Alfred était partit.
-il ne me reste plus qu’une solution se dit Alfred, faire tout les parkings de la ville, jusqu'à ce que je trouve le bon, et il passa trois heures à parcourir tous les parkings de la ville, jusqu'à ce qu’il trouve le bon.
-Hé bien, c’est pas trop tôt Alfred, râla sa mère, on a eu le temps d’acheter une glace, de prendre un café, et de retourner à la voiture, pour que tu arrives enfin, papa a très mal tu sais.
-Ah peste, que je souffre, j’ai terriblement mal, comme si mon pied était sous un camion de 48 tonnes !
-Tu n’exagères pas un peux ? Demanda Alfred à son père.
-Presque pas ! Lui répondit-il.
-Vite, maintenant que vous avez les clefs, prenons la voiture et partons à l’hôpital. Proposa la mère d’Alfred. Mais la voiture refusa de démarrer.
-Tut tut tut tut, faisait-elle.
-Elle ne daigne pas démarrer, se moqua Alfred, d’un coup la voiture fit un bruit qui ressemblait à ça :
-BRAMMM ! Et de la fumée sortit de partout.
-Mince, elle a craqué, elle est foutue, elle est kapout! dit la mère d’Alfred.
-La douleur augmente considérablement ! Hurla le père d’Alfred.
-Nous n’avons plus le choix, dit la mère d’Alfred, on doit porter papa, jusqu'à l’hôpital, et ils partirent en portant le père sur leurs épaules.
-C’est bon, on y est presque ! Hurla Alfred. Une fois devant l’hôpital, le père descendit tous seul et se mit à marcher.
-Tiens, c’est bizarre, je n’ai plus mal, dit-il, et ils retournèrent tous sur la plage pour chercher les affaires.
-Faites attention aux crabes ! se moqua encore une fois Alfred.
-Oh c’est bon hein ! Dit son père vexé. Ils firent réparer la voiture, et rentrèrent chez eux.
-Quelles superbes vacances ! Dit Alfred dans la voiture.
-Tu l’as dit, lui répondit sa mère.
-moi j’ai bien aimé ! Approuva le père.
Et c’est depuis ce jour là qu’Alfred et sa mère ne partent plus à la mer mais plutôt à la montagne pour les vacances.
NOTE : Ne pas exagérer, c’est bien.
ELECTRO
-C’est pas très grave se disait-il, je ne me baignerai pas, mais j’irai faire un tour au parc d’attraction ! Mais ce n’était pas de l’avis de ses parents.
-Quoi ! tu as oublié tes affaires, mais on ne peut vraiment pas compter sur toi… Pour Alfred de superbes vacances s’annonçaient.
-Elles commencent bien ces vacances ! se disait Alfred. Il resta tout le temps au bord de l’eau sur la plage, à compter les coquillages, à faire des châteaux de sables, des trucs passionnants ! Pour les bébés. C’est alors que son père cria :
-OH mon dieu ! Mon pied ! Un crabe m'a mordu ! Il faut m’emmener à l’hôpital !
-mon petit chéri, j’emmène papa à l’hôpital, reste ici d’accord ? et la maman d’Alfred partit emmener le père à l’hôpital.
-Oh encore un superbe moment qui s’annonce, qu’est ce que je peux bien pouvoir faire ? Il décida d’aller se baigner quand le téléphone sonna, Alfred alla décrocher.
-C’est qui ? Demanda-t-il
-C’est maman mon chéri, peux-tu nous amener les clefs de la voiture ?
-D’accord, vous-êtes où ?
-Sur un parking avec une poubelle, et elle raccrocha.
-Super, je suis bien avancé, je vais aller demander à des gens où se trouve le parking, et il trouva quelqu’un.
-Pardon monsieur, connaissez-vous un parking avec une poubelle ?
-Oui, bien sur, il y en a un là, un autre là, et encore un autre là bas, et peut-être un autre là… et il s’arrêta quand il se rendit compte qu’Alfred était partit.
-il ne me reste plus qu’une solution se dit Alfred, faire tout les parkings de la ville, jusqu'à ce que je trouve le bon, et il passa trois heures à parcourir tous les parkings de la ville, jusqu'à ce qu’il trouve le bon.
-Hé bien, c’est pas trop tôt Alfred, râla sa mère, on a eu le temps d’acheter une glace, de prendre un café, et de retourner à la voiture, pour que tu arrives enfin, papa a très mal tu sais.
-Ah peste, que je souffre, j’ai terriblement mal, comme si mon pied était sous un camion de 48 tonnes !
-Tu n’exagères pas un peux ? Demanda Alfred à son père.
-Presque pas ! Lui répondit-il.
-Vite, maintenant que vous avez les clefs, prenons la voiture et partons à l’hôpital. Proposa la mère d’Alfred. Mais la voiture refusa de démarrer.
-Tut tut tut tut, faisait-elle.
-Elle ne daigne pas démarrer, se moqua Alfred, d’un coup la voiture fit un bruit qui ressemblait à ça :
-BRAMMM ! Et de la fumée sortit de partout.
-Mince, elle a craqué, elle est foutue, elle est kapout! dit la mère d’Alfred.
-La douleur augmente considérablement ! Hurla le père d’Alfred.
-Nous n’avons plus le choix, dit la mère d’Alfred, on doit porter papa, jusqu'à l’hôpital, et ils partirent en portant le père sur leurs épaules.
-C’est bon, on y est presque ! Hurla Alfred. Une fois devant l’hôpital, le père descendit tous seul et se mit à marcher.
-Tiens, c’est bizarre, je n’ai plus mal, dit-il, et ils retournèrent tous sur la plage pour chercher les affaires.
-Faites attention aux crabes ! se moqua encore une fois Alfred.
-Oh c’est bon hein ! Dit son père vexé. Ils firent réparer la voiture, et rentrèrent chez eux.
-Quelles superbes vacances ! Dit Alfred dans la voiture.
-Tu l’as dit, lui répondit sa mère.
-moi j’ai bien aimé ! Approuva le père.
Et c’est depuis ce jour là qu’Alfred et sa mère ne partent plus à la mer mais plutôt à la montagne pour les vacances.
NOTE : Ne pas exagérer, c’est bien.
ELECTRO
electro- Grand écrivain
- Messages : 6
Date d'inscription : 11/10/2009
Age : 26
Localisation : quelque parts dans l'univers, indice, c'est sur la terre
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|